C’est avec horreur que nous assistons depuis huit mois aux bombardements incessants sur le territoire palestinien avec 40 000 morts dont 15 000 enfants.

Le blocus et la famine sont utilisés comme arme de guerre. A Rafah, les camps de réfugié.e.s sont ciblés.

Nous, hospitalier.e.s et militant.e.s CGT, sommes saisis d’e­ roi devant  ce crime contre l’humanité.

Nous exigeons la paix et réaffirmons l’urgence d’un cessez le feu immédiat.

En ce moment même, nos collègues hospitalier.e.s continuent de soigner la population dans des conditions atroces.

Les hôpitaux sont rasés ! Les médecins, les soignant.e.s et les journalistes sont assassinés. Même les ambulances se font tirer dessus !

Le gouvernement réprime étudiant.e.s, syndicalistes, militant.e.s politiques ou associatifs qui veulent faire cesser ce massacre. Les délégué.e.s au congrès des syndicats CGT de l’APHP affirment leur solidarité à toutes les victimes de cette répression.

Des dizaines de milliers de personnes meurent sous les bombes. Cette spirale de la violence est insensée, il faut obtenir l’arrêt de la guerre.